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Saint-Barthélemy de Jonqueroles
Saint-Barthélemy de Jonqueroles
L'église Saint-Barthélemy de Jonqueroles est probablement construite au Xe siècle.
Elle est citée pour la première fois en 1020 dans le testament de Bernard Taillefer,
comte de Besalú et seigneur éminent du Fenouillèdes. Le village semble disparaître
au XIVe siècle mais il reste des ruines de l'église. bonne promenade en ce lieu.
St Barthélémy de Jonqueroles apparaît pour la première fois en 1020 dans le testament
du comte de Bésalu. Il semble donc que ce lieu ait été en sa possession, ce qui est normal
vu que son pouvoir s'étendait sur une bande verticale englobant une région allant du
Fenouillèdes à Bésalu, une ville actuellement en Espagne au Sud du Vallespir. Après cette
mention, le village disparaît des textes jusqu'au XIVe siècle. Durant le XVIIe l'église est
devenue une chapelle funéraire. C'est la raison pour laquelle on peut encore voir de nos jours
des restes de peintures murales représentant des crânes et des tibias croisés, le tout avec des blasons. Au siècle suivant l'église fut détruite durant la guerre de 1793, et le village disparut.
St Barthélémy est un ancien village situé au Nord-Est de Bélesta, dans le Fenouillèdes.
On est à la limite avec le Conflent, la frontière passant deux ou trois kilomètres plus au Sud.
C'est assez étrange que d'aller sur place, cette chapelle n'est pas le seul édifice encore debout,
quelques maisons le sont aussi, mais tous les bâtiments sont partiellement écroulés, ce qui donne
un aspect sinistre à ce village abandonné. D'autant plus qu'il est sur un plateau, parfaitement
visible de loin.
Il s'agit d'un édifice pré-roman comme le prouve son abside trapézoïdale et son arc triomphal
outrepassé. Construite en schiste et granit, son chevet mesure 6m par 3m50 et sa nef 11m par 5.
Elle était couverte d'une voûte en berceau sur arcs doubleaux. Les murs gouttereaux en conservent
des traces. Il s'agissait d'une église fortifiée, elle était entourée d'un rempart servant de refuge
à la population locale. Cette enceinte (Cellera) décrivait un rectangle de 18m50 par 13.
Devant l'église, on peut encore voir une croix de cimetière datant de 1746 et un peu plus
loin deux oratoires, l'un du XVIIe siècle, l'autre du XVIIIe.
Pour se rendre à Jonquerolles Il faut aller jusqu à Belesta et poursuivre la route vers Caramany
Peu apres Bélesta une petite route part sur la droite, elle est arrêtée tout de suite par une barrière.
L'idéal est de s'y déplacer à vélo, le chemin est large et très agréable.
Les vestiges du village de Jonqueroles se trouvent à 2/3Kms de là, on les identifie bien
en avançant . Sur le chemin vous croiserez le joli dolmen reconstitué du moli del vent.
Le site médiéval de Saint Barthélemy-de Jonquerolles Correspond à un ensemble architectural composé
actuellement d une église et de dépendances pour stocker des denrées
Ce hameau apparait dans les textes dès le début du 11ème siècle.
Son église est réaménagée durant l époque romane (construction d une voûte en pierre),
puis le site est abandonnée lors de la grande peste du 14ème siècle au profit de Bélesta ,
qui possédait une enceinte protégeant un château fortifié par Saint Louis au 13ème.
L édifice religieux a servi de chapelle funéraire (fresques à tête de mort) jusqu au 17ème siècle
Eglise Saint Barthélèmy de Jonqueroles Belesta ,
Edifice préroman, cité des 1020 dans le testament du Compte de Besalu,
Il est transformé en église paroissiale en 1154
Elle sera abandonnée au XVIIè
De l église ruinée après l effondrement de sa voûte, il reste une nef de 11 m de long sur 5 m
et une abside quadrangulaire d environ 6 x 3.50 m Altitude 456 m, ci dessous plan de la balade
Merci de votre visite à demain ......
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CHOISIR SOI-MEME
Garde toujours ton indépendance d'esprit
Et ton propre discernement.
Réfléchis, ne demande pas aux autres qu'ils réfléchissent pour toi !
Tu as une âme, Tu as un coeur, il faut t’en servir.
Toi seul.e. peux savoir si Tu es dans la vérité.
Les autres ne sont pas plus élevés,
Ni plus spirituels que Toi.
Nous sommes tous spirituels,
Sauf que certains ne se sont pas encore réveillés
Ou éveillés à cette réalité.
Cherche, suis ton intuition,
Demande à ton corps de te guider
Pour savoir si c'est bon ou non pour toi.
Si ton corps se sent bien à l'idée de faire ou d'avoir quelque chose,
Alors il dit oui, s'il se sent mal, alors il dit non.
Apprend à l'écouter car ton corps est ton meilleur ami
Et connais parfaitement tes besoins.
N'oublie pas que chacun avance à sa manière
Et fait toujours du mieux qu'il peut,
Même si Tu ne le comprends pas.
Rappelle-toi cette phrase :
"Il n'y a pas de gens méchants, il y a seulement des gens souffrants
Qui ont des comportements de méchants".
Bien-sûr que cette phrase peut te heurter et c'est son but :
Te secouer pour te faire réfléchir.
Si c'est trop difficile,
Prends de la distance avec ceux avec lesquels Tu n'es pas en harmonie,
Personne ne te demande de te torturer.
Souvent dans un premier temps, couper les ponts, partir, cesser la relation,
Dire au revoir est nécessaire le temps de faire ta propre introspection.
Il n'y a rien d'interdit si ce n'est que de te rappeler
Que Tu dois prendre la responsabilité totale de tes actions.
Ne te laisse jamais entraîner par quelqu'un que Tu jugerais mieux que toi.
N'aie toujours qu'une seule chose en tête, la pensée de l'Amour.
Maud Albertini
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J'ai appris à être seule,
Pour ne plus étouffer autrui,
Et également à faire les deuils,
De ce qui était bien fini.
J'ai appris à m'apprécier,
Pour ne plus dépendre des regards,
Que d'autres pouvaient prendre ou donner,
Pour une vie, un mois, un soir.
J'ai appris à voir le mieux,
Même quand j'étais au fond du pire,
Pour que mon cœur ne soit pas vieux,
Et qu'il connaisse le plaisir.
J'ai appris à m'élever,
Pour ne pas perdre la lumière,
Je n'ai jamais cessé d'aimer,
Pour que ne vienne pas l'hiver.
Et quand parfois survient le froid,
Je voyage dans la solitude,
Pour prendre un peu plus soin de moi,
Et faire tomber les habitudes.
J'ai appris à me découvrir,
Pour aller vers le mieux pour moi,
Et c'est avec le sourire,
Que je continue sur ma voie...
Que d'autres pouvaient prendre ou donner,
Pour une vie, un mois, un soir.
J'ai appris à voir le mieux,
Même quand j'étais au fond du pire,
Pour que mon cœur ne soit pas vieux,
Et qu'il connaisse le plaisir.
J'ai appris à m'élever,
Pour ne pas perdre la lumière,
Je n'ai jamais cessé d'aimer,
Pour que ne vienne pas l'hiver.
Et quand parfois survient le froid,
Je voyage dans la solitude,
Pour prendre un peu plus soin de moi,
Et faire tomber les habitudes.
J'ai appris à me découvrir,
Pour aller vers le mieux pour moi,
Et c'est avec le sourire,
Que je continue sur ma voie...
- Alexandra Julien -
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La tombe de Robin.des Bois.
LE SAVIEZ-VOUS ??.......
Robin des Bois a vraiment existé (Légende) :
Son nom était Roger Godberd, avec le temps on l'appelait Robin Good ou Robin le bon,
puis il s'est adapté comme Hood. C'était un homme d'environ 30 ans
Audacieux avec l'arc et la flèche qui a vécu au Xllll siècle, on dit qu'il était
un grand ami du shérif de Nottingham mais les circonstances de la vie les ont menés
sur des chemins opposés car Roger ne supportait pas l'idée d'abus des riches envers
les fermiers et les personnes les plus faibles des villages.
Selon certains récits, le premier vol était une cargaison de fourrures et de nourriture
que des soldats du roi avaient arraché à des gens d'un des villages où il passait la plupart
de son temps... puis il a vu en cela un moyen d'aider les gens car tout ce qu'il "volait"
ou récupérait le donnait aux pauvres.
On dit qu'il est mort de trahison par un de ses hommes qui voulait récupérer sa récompense,
il a été adoré par les pauvres de Nottingham et du Yorkshire, sa tombe est dans le Yorkshire
en Angleterre et il a près de 800 ans ........
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Pont-aqueduc d'Ansignanautre vue de l'aqueduc et alentours
L'origine et l'histoire de ce pont-aqueduc sont incertaines. Un pont aurait été construit durant ou
avant l'époque romaine, peut-être par les Volques Tectosages. La voie romaine est bien attestée.
Ce premier pont était complété par un second pont permettant de traverser la Désix, affluent de l'Agly
sur la rive droite, quelques centaines de mètres en aval du village.
La mairie d'Ansignan indique que les moellons des arches sont datés entre 220 et 270 de
notre ère. Juliette Freyche avance que l'ouvrage d'origine était un aqueduc destiné à irriguer
les terres d'une villa romaine. Certaines sources suggèrent que l'ouvrage initial aurait été un
pont-siphon (siphon inversé), technique plus commune et largement utilisée par les romains.
Durant le Moyen Âge, un aqueduc fut construit au-dessus du pont initial au ixe siècle - transformant
le chemin en tunnel. Ce dernier ouvrage fut remanié à de nombreuses reprises, notamment aux xiiie
et xive siècles, allongeant l'édifice jusqu'à ses dimensions contemporaines.
Aujourd'hui, aucune découverte archéologique significative ne permet d'expliquer la présence de
cet imposant édifice dans sa forme actuelle. Celui-ci est toujours en service et permet l'irrigation
des cultures du village d'Ansignan, sur la rive opposée de l'Agly et de pont-tunnel pour traverser.
Louis Companyo notait que « ce petit vallon forme un contraste frappant avec tout ce que l'on a vu
depuis le défilé de la Fou. Tandis que la terre est partout ailleurs maigre et stérile, elle est ici couverte
de moissons et de fraîches prairies » ajoutant que cela était dû à la nature de la terre.
Le pont-aqueduc sur l'Agly fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis
le 19 avril 1974. Il fait partie des 18 sites lauréats du Loto du patrimoine 2023.
Les travaux concerneront l’étanchéité du canal, la dévégétalisassions de la structure,
le calfeutrement des fissures et les reprises des parements des arches.
Merci de votre visite à demain ...........
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