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Par berenice.la.ballade le 3 Février 2024 à 05:22
Les mots sont des fenêtres (ou bien ils sont des murs)
Je me sens si condamnée par tes mots
Je me sens tellement jugée et repoussée,
Avant de partir, j’aimerais savoir,
Est-ce cela que tu voulais dire ?
Avant que je me lève pour ma défense,
Avant que je ne parle poussée par ma souffrance
ou par la peur,
Avant que je ne construise un mur de mots,
Dis-moi, ai-je bien entendu ?
Les mots sont des fenêtres, ou bien ils sont des murs.
Ils nous condamnent ou nous libèrent.
Lorsque je parle et lorsque j’écoute,
Puisse la lumière de l’amour rayonner à travers moi.
Il y a des choses que j’ai besoin de dire,
Des choses qui signifient tant pour moi,
Si mes mots ne rendent pas mon message limpide,
M’aideras-tu à me sentir libre ?
Si j’ai paru te rabaisser,
Si tu m’as crue indifférente,
Essaie d’écouter par-delà mes mots
Les sentiments que nous partageons.
Texte écrit par Ruth Bebermeyer, publié par Marshall Rosenberg
dans son livre Les mots sont des fenêtres, ou bien ce sont des murs,
Éditions Jouvence
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Par berenice.la.ballade le 2 Février 2024 à 05:52
Je ne laisserai pas entrer le vieux !
C'est la réponse admirée et non génétique que Clint Eastwood a donné quand
on lui a demandé quel était son secret pour rester actif et brillant à son âge (93 ans)
Quand je me lève tous les jours je ne laisse pas entrer le vieux.Mon secret est le même depuis 1959 .Occupez-vous... Je ne laisse jamais le vieil homme entrer dans la maison.J'ai dû le traîner dehors parce que le gars était déjà confortablement installé, me donnantdes coups de pied constamment, ne laissant aucune place à autre chose que la nostalgie.Tu dois rester actif, vivant, heureux, fort, capable.C'est en nous, dans notre intelligence, attitude et mentalité.Nous sommes jeunes avec l'indépendance. Il faut apprendre à se battre pour ne pas laisserentrer le "vieux. "Ce vieux qui nous attend, debout fatigué au bord de la route pour nous décourager.Je ne laisse pas entrer le vieil esprit, le critique, l'hostile, le jaloux, l'être qui persécutenotre passé nous lier avec des plaintes et des angoisses lointaines, des traumatismes revusou des vagues de douleur.Il faut tourner le dos au vieux bavardage, plein de colère et de plaintes, sans courage, quise renie que la vieillesse peut être créative, déterminée, pleine de lumière et de protection.Vieillir peut être agréable, et même amusant, si vous savez utiliser le temps, si vous êtes
satisfait de ce que vous avez réalisé et si vous continuez à avoir l'illusion, ajoute Clint Eastwood.
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Par berenice.la.ballade le 1 Février 2024 à 06:13
LE 22 OCTOBRE 1844, naissance de Louis Riel à Saint-Boniface. Son père, Louis Riel, était métis,
le fils d’un de ces coureurs de bois qui avaient épousé des Amérindiennes et avaient ainsi contribué
à la création de la nation métisse. La mère de Riel, Julie Lagimodière, était une blanche, la fille d’une
des premières femmes blanches à atteindre le Nord-Ouest. Comme elle avait eu l’intention d’entrer
en religion, elle inculqua à son fils un sentiment religieux très vif. Louis Riel grandit donc dans une
famille où deux forces maîtresses étaient en présence : le nationalisme métisse de son père et la piété
de sa mère. Louis alla chez les Sulpiciens de Montréal pour se préparer à la prêtrise, mais il ne termina
pas ses études. Passionné par la politique, en rentrant à la Rivière-Rouge en 1868, il sentit qu’il se devait
à son peuple et à son l’église et qu’il devait craindre les ambitions du Canada d’alors. À l'époque, sur les
bords de la rivière Rouge, vivent environ 10 000 Métis, en majorité francophones et catholiques. Ils
vivent de chasse aux bisons et cultivent la terre. En 1869, le territoire des Métis est convoité par le
gouvernement canadien qui veut y installer des colons anglophones en provenance de l'Ontario.
Sans tenir compte des droits des Métis, il envoie des arpenteurs qui s'imposent avec beaucoup
d'arrogance. Devant cette menace, les Métis décident de résister.
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Par berenice.la.ballade le 31 Janvier 2024 à 06:08
Le four solaire du Padre Himalaya
C'est á Sorède, sur les hauteurs de Notre Dame du Château au « Coll del Buc ››, que le Padre Himalaya,
alors âgé de 32 ans, fut le premier à expérimenter un four solaire.
Durant l'été 1900, c'est à dos d'hommes et de mulets que des artisans de Sorède vont monter puis installer
la machine du savant.
Ce four possédait une optique de 5 mètres de diamètre équipée de 260 miroirs tronconiques, fixés sur une
structure métallique qui pouvait être orientée vers le Soleil.La nature du métal réfléchissant utilisé demeure inconnue.
La disposition de ce système optique à concentration suggère le fonctionnement d'une lentille à échelons popularisée
par Augustin Fresnel.
Chacun de ces miroirs doit être courbé et orienté de façon à renvoyer les rayons solaires vers le foyer où était
situé le creuset.Ce creuset accueillait les matériaux traités.
La chaleur du Soleil concentrée par les miroirs permit au savant d'obtenir une température avoisinant les 900 °C.
On peut encore voir de nos jours les restes de la plate forme expérimentale, les murs en pierres sèches ainsi
que la piste en ciment qui supportait le rail circulaire et horizontal.
Ce lieu a donc vu naître le premier four solaire jamais réalisé dans le département des Pyrénées-Orientales,
voire même dans le Monde.
SOURCE : BLOG LES AMIS DU PADRE HIMALAYA DE SORÉDE...
http://himalaya.vefblog.net/44.html#Les_Amis_du_Padre_Himalaya_de_Sorede
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Par berenice.la.ballade le 30 Janvier 2024 à 05:52
Suite Mystique
Je vous laisse à votre inspiration ......
La tribune un joyaux de l Abbaye
Les colonnes qui expriment bien le sens de la Bible, Beau point de vue depuis cet endroit
A lire un roman historique qui se passe en partie dans le Prieuré /14 ème siècle EQUIDISTANCE
de Frédéric William Girma FNAC où libraires et SuperU Prades EGAT... passionnant
Merci de votre visite A demain ...........
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