-
Par berenice.la.ballade le 21 Novembre 2023 à 05:52
Collioure par temps nuageux, toujours la plus belle
Le quai
quelques petites barques
une solo, qui attends son maitre
Les parasols prennent congés pour ce jour
petite houle
le vent se calme
Coucou c est moi, vous me voyez ???
Promenons nous
au 14 une belle porte un bel encadrement
Les fleurs tiennent toujours sur les plantes grimpantes
Petit bateau voguera t il et ses drapeaux en couleurs
Une dernière pour la route
Merci de votre visite a demain ..........
3 commentaires
-
Par berenice.la.ballade le 20 Novembre 2023 à 06:02
Ce jour petite rando depuis Villlerach vers la Chapelle St Estève de Pomer 10kms et 480m de dénivelé.
La chapelle qui était fermée, pas de visite, l ermite a du aller se promener quelques part
Quelques indications pour vous indiquer comment y aller
Un repère un pont , la petite chapelle.
Merci de votre visite a demain ............ 1 commentaire
-
Par berenice.la.ballade le 19 Novembre 2023 à 06:03
Bordée par la mer Méditerranée et protégée des vents intérieurs par les monts
au nord de la ville, Málaga bénéficie d'un des taux d'exposition au soleil les plus élevés du monde. Venez y découvrir son passé arabe avec les azulejos, l'Alcazaba ou une forteresse maure, ses traditions, sa gastronomie et sa riche offre culturelle qui comprend entre autres le musée Picasso et sa cathédrale.
Le port vaut également le détour ainsi que son ambiance nocturne.
Un des trésors d’Andalousie et de la sublime Costa del Sol, Malaga, s’érige sur les côtes de la Méditerranée avec ses 3 000 ans d’histoire. Située entre Marbella et Nerja, elle constitue le principal comptoir maritime de la région et du sud de l’Espagne. Ville au carrefour des civilisations, témoin de
toute l’histoire espagnole, de l’Antiquité à nos jours en passant par Al-Andalùs, elle constitue une destination de choix pour les curieux mais aussi pour les personnes désirant se détendre sous un
soleil réconfortant. En effet, ses températures douces tout au long de l’année permettent de profiter
de belles vacances. De plus, étant l’une des villes le plus animée de la Costa del Sol, Malaga se révèle
être un point de chute idéal pour les désireux de fêtes, de quoi s’émerveiller au cours de votre séjour jusqu’au bout de la nuit. Plage aux allures de paradis, balayées par des flots azurs. Monuments historiques uniques, dotés d’une histoire millénaire. Des adresses et discothèques hors du commun,
pour danser du crépuscule aux aurores. La capitale de la province et ses alentours regorge de centres d’intérêts qui sublimeront votre séjour dans le sud de l’Espagne. Retrouvez ci-dessous un panel des immanquables de Malaga et ses environs pour des vacances inoubliables sous le soleil andalou !
Malaga et plus largement sa région sont une des destinations de prédilection des touristes visitant l'Espagne. Son climat chaud et agréable, ses panoramas à couper le souffle ainsi que ses somptueuses étendues de sable parfaites pour un apaisement complet, font l’intérêt de choisir cette ville pour ses vacances et lâcher-prise.
Ses mille et une richesses culturelles et sa beauté naturelle charment les voyageurs qui y posent leurs valises. La Costa del Sol, en général portée par la splendeur de Malaga, est " the place to be "
pour un séjour de bonheur sur la côte andalouse.
Un lien pour continuer la visite N hésitez pas
https://www.nationalgeographic.fr/voyage/2019/08/malaga-la-beaute-de-lespagne-loin-du-tumulte-du-tourisme-de-masse
Mireille Blogueuse nous parle de Malaga suivez le lien ci-dessous
http://metzptitsbonheurs.eklablog.com/malaga-marbella-etc-a214985097#comments-anchor
Merci de votre visite à demain ...........
votre commentaire
-
Par berenice.la.ballade le 18 Novembre 2023 à 07:24
Comme toutes les petites filles Michelle a été à l école,
Voici un extrait la suite sur un livre .....
Mon premier jour de CPCe fut au mois de septembre 1955, le trois exactement, que je rentrai en Cours Préparatoire. Je n’étais pas peu fière d’être enfin chez les « grandes ».Je marchais près de Maman, cheveux bien coiffés, sandalettes et culotte neuves, blouse fraîchement brodée à mon nom. Un sac en cuir offert par ma marraine. Sac d’écolière que je portais d’une seule main. Il touchait terre, le sac, tant j’étais petite. Arrivée devant l’école, des grandes de dix ans se mêlèrent d’emblée aux petits bouts de choux comme moi. Petites filles d’à peine six ans. C’en était impressionnant. Certaines avaient un instinct protecteur. D’autres paraissaient autoritaires, car elles étaient grandes. Ensuite elles se regroupaient instinctivement, les souvenirs des vacances encore accrochés au bord de leur cœur.L’école de la Chaume était une austère maison de pierres grises, avec de grandes et hautes fenêtres. Elle avait sans doute été faite pour défier les siècles. C’était l’école des filles depuis le XVIIe siècle. Je me souviens de la cour en terre battue, dans laquelle deux gros tilleuls montaient fidèlement la garde. Plus au fond, deux marronniers mêlaient amoureusement leurs branches. Le préau paraissait sombre comme une nuit sans étoiles. Sept latrines, fermées par des portes de bois peint en vert et munies d’un hublot triangulaire, s’alignaient comme des soldats au garde à vous, tout au fond de la cour de récréation.La maîtresse des élèves de CP, Madame Descouture, nous demanda de nous ranger en rang d’oignons, les mains derrière le dos. Déjà la discipline ! Elle était mince comme la retraite des vieux, cette dame. Des cheveux châtains bien crantés. Des yeux aux couleurs bleu perle. Une jupe qui recouvrait ses genoux avec une certaine pudeur. Un chemisier blanc. Des chaussures plates. Une blouse sous le bras.La classe me paraissait bien plus grande que celle de la maternelle. Elle sentait bon la cire d’abeille. Le poêle, au centre de la pièce, ne nous réchauffait guère, mais il en émanait une bonne odeur de bois brûlé. Une douce chaleur, aussi. Le grand tableau noir sur lequel était notée la leçon de morale. Le bureau de la maîtresse juché sur son estrade de bois. Les pupitres des élèves sur lesquels un encrier en faïence blanche était incrusté, sur la droite, et ne laissait entrevoir qu’un petit orifice pour tremper la plume sergent major. Des crayons de bois et le taille-crayon. Une ardoise noire entourée d’un cadre en bois. Des craies blanches. Des gommes neuves. Des cahiers à grands carreaux. Et enfin le livre qui me permit plus tard de lire couramment. Son titre : « Le petit chaperon rouge ».Ce livre me laissa un souvenir mémorable. Comme ma langue sortait de ma bouche involontairement, je « zozotais ». Je lisais donc, « le petit saperon rouze » et j’étais la risée de toutes les élèves. J’enviais les écolières qui apprenaient à lire avec « Amadou le bouquillon ».Comme j’étais la dernière de la rangée, je me retrouvais tout au fond de la classe. Les autres élèves s’étaient assises aux premières places. Mais, au fond, je m’y sentais bien. Plus près de la porte de sortie. ...... La suite sur son livre 2 commentaires
-
Par berenice.la.ballade le 17 Novembre 2023 à 06:05
avant de m’élever vers la lumière blanche du paradis, celle qui me fait des clins d’œil au bout du tunnel du grand soupir, je voudrais faire passer des messages.
Ça y est. La nuit arrive. La lune argentée éclaire la ville. Je vous salue madame la lune, belle écarlate miellée qui dans les cieux demeurez. Les étoiles scintillent plus fort que n’importe quelle autre nuit. Le paysage féérique s’éclaire par des effets déconcertants, indescriptibles. La lumière devient étrangement belle. Le ciel est blanc. Linceul neigeux. Pureté immaculée. L’horizon n’a pas de limite, comme si un peintre n’avait pas terminé son œuvre, oubliant les haies des champs. Puis cet horizon disparait, rendant alors infinies les limites de mes pensées. Limite du temps. Les oiseaux traversent le ciel en exécutant une danse macabre à grands coups d’ailes, comme pour m’inviter à les suivre dans leur rêverie éternelle. Détachement. Nirvana. Les papillons volètent. Je suis légère…légère…mon corps n’est plus. Je me lacère pour qu’enfin la lumière s’infiltre dans les profondeurs de mon âme. Je suis dépouillée de mon écorce à forme humaine…Vivants, sachez que nous vivons une moyenne de 85 années sur terre, alors qu’il y a des milliards et des milliards d’années que le monde est apparu, et ce en six jours. Big bang. Devant vous il y a encore un nombre indéfinissable de printemps à venir, à fleurir… L’éternel aussi. Temps plus que pérenne. Alors, cessez donc de vous ridiculiser avec vos petites guerres de Play-mobile. Rangez vos armes. Vos petites manies prétentieuses. Vos petits jugements bouillants dans vos esprits étriqués. Carcan de moralité. Vos opinions politiques et vos retournements de vestes. Vos massacres et vos joutes oratoires dont les causes sont souvent l’idée de ce que l’on se fait des différentes religions. Il parait qu’il n’a qu’à Dieu. L’unique ». Faites de vos différences le lieu même d’échanges, celles qui vous en nourriront l’amour. Rangez dans le tiroir de l’oubli votre orgueil, votre vanité ridicule, vos artifices grotesques, vos envahissements psychiques inutiles, votre petit coffre-fort scellé dans les murs de votre banque. Scellé de pouvoir, aussi. Votre argent ne suivra pas votre corbillard. Faites ce que votre cœur vous dicte, au jour le jour, sans jamais vous soucier des médisances, sans jamais vous retourner. Parfois nous laissons échapper la vie, en voulant paraître trop convenable. Un jour la fin sur terre arrivera et vous n’aurez pas vécu autant que vous l’auriez mérité. Ne vous enfermez pas dans des humeurs déplorables. Voyez toujours la bouteille à moitié pleine, jamais à moitié vide. Le pessimisme entretient l’angoisse. N’ayez pas peur de l’avenir, il est tracé de toute façon, et souvent merveilleux. Bâtissez des cathédrales à la place des centrales nucléaires (c’est une image)… ne passez pas comme des aveugles à côté des trésors spirituels. De l’amour quémandé, aussi… goûter à toutes les saveurs inconnues. Laissez-vous traverser par toutes les joies terrestres. Profitez de la douceur du vent, de la chaleur du soleil, celle qui vous caresse. Essayez toujours de comprendre votre prochain, afin de ne pas mourir idiot. Vous aurez des surprises. Acceptez votre faiblesse, cela vous rendra plus fort. Observez. Écoutez. Voyez la beauté, là où certains ne voient que laideur. Tombez les œillères, elles vous empêchent de voir la vie. Partagez. Mangez la vie par les deux bouts, tout ensemble, les petits avec ceux qui se pensent grands. Bourgeois, ne vous moquez pas du mendiant. Aidez-le. Mendiants, ne jugez pas le bourgeois, plaignez-le. Ne fermez jamais la porte de votre cœur à ceux et celles qui veulent y entrer. Faites l’amour quand la chair appelle. Pas la guerre. Ne jugez pas si vous ne voulez pas être jugés. Satan est derrière vous. Apprenez à conjuguer le verbe aimer à tous les temps, par tous les temps. Roulez-vous dans la douceur de vivre. Ne plombez pas votre âme de larmes, Dieu vous prête seulement la vie. Regardez toujours au-delà de votre nombril égocentrique. Ne vous entretuez pas pour posséder la plus belle femme, le plus bel homme. Personne n’appartient à personne. Même vous, vous ne vous appartenez pas. Tout ici-bas est biodégradable.Ne confondez pas aimer et posséder…attention, le monde se vide d’amour et se remplit d’argent. La vie est éphémère et fragile. Nous sommes tous des cadavres en sursit. La terre tourne trop vite, elle va nous rendre fous.Sachez que L’amour est le moyen le plus court et le plus simple pour entretenir à l’intérieur de soi l’émulation nécessaire pour progresser. ....... La suite sur le livre . 1 commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique
Créer mon blog