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    LE CHATEAU CHARLES DUCUP DE SAINT
    les abords du château restant
     
     
    salon de thé extérieur pour ces messieurs dames 
     
     
     Belle décos et travail minutieux du menuisier
     
     
     
     
     La Vierge à l enfant juste apres le parc qui donne sur une promenade et le potager
     
     L entrée du parc juste face au château qui va vers les dépendances
     
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     Intérieur de la chapelle,
    Peut être une image de horloge comtoise Merci de votre visite à demain ......

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     LE CHATEAU CHARLES DUCUP DE SAINT

    la façade et son blason
     
     
    Reconnaissez le blason dans l angle du batiment
     
     
     
     
     
     Belles decos de façade
     
     
      Aucune description de photo disponible.
     
     
    Peut être une image de Camogli Aucune description de photo disponible.
     
     Belle façade dans toute sa splendeur  
     
     
    Aucune description de photo disponible.  Merci de votre visite à demain ................

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     LE CHATEAU CHARLES DUCUP DE SAINT PAUL

    C’est le 10 février 1746 que Pierre François Ducup, venant de  l’Aude, donna son nom au domaine qui était composé de vignobles, de champs de blé, d’oliviers et de mûriers. Autour de la maison de maître et des bâtiments d’exploitation : lauriers, ormes, platanes et une grande allée de chênes dans la direction de la route longeant la Têt.

     

    C’est le mariage entre Charles Ducup de Saint Paul, officier d’artillerie et propriétaire à l’époque, avec Camille Bardou-Job, qui provoque la construction du Château. Camille était la fille d’un riche propriétaire de plantations de tabac en Afrique et dans l’ancienne Indochine et, de plus, de l’usine à papier à cigarettes, située rue Emile Zola à Perpignan : Pierre Bardou-Job. Celui-ci s’était lié d’amitié avec un architecte danois déjà célèbre : V-D Petersal, installé impasse Vauban à Perpignan.

      

    Avec Charles Ducup, ils commandèrent le Château de leurs rêves dont la construction commença entre 1890 et 1892. Décédée le 3 mars 1934, la succession de Camille Ducup posa le problème du partage entre les sept héritiers. La décision de tout vendre par parcelles fut prise le 24 juillet 1937. M. Jean-Jules Ducup, l’un des fils, était allé exprimer à l’évêque d’alors, Monseigneur Bernard, le souhait que le château et ses 5.5 hectares soient au service du diocèse.Sur le moment, Monseigneur Bernard, qui vivait lui-même très pauvrement, accepta mal l’idée que de futurs prêtres soient formés dans un château. Un don inespéré d’un million de francs (de l’époque) reçu d’une veuve d’un distillateur de Rivesaltes, lui fit accepter la proposition.Dès lors, les travaux d’agrandissement commencèrent en automne 1937.

      

    Le petit séminaire est installé à partir de 1938. En 1966 Le château est aménagé en Maison diocésaine afin d’accueillir des personnes dans un esprit familial. L’ installation des bureaux de l’ évêché ainsi que de la chapelle Saint Jean Paul II se fera durant l’ année 2014.

    L’intérieur est hyper spartiate.
    Seul quelques photos d’extérieur permettent de se faire une idée de ce qu’il en reste.
    c'est le troisiéme château de la trilogie BARDOU JOB

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    Ce jour nous partons à la découverte du village de Gerberoy en Picardie

    gerberoy

     

    Parmi nos balades favoritescelles qui dépassent le cadre parisien ont une place toute

    particulière dans nos cœurs. Entre Moret-sur-LoingAuvers-sur-Oise ou encore Giverny,

    il existe une myriade de petits trésors aux alentours de Paris. D’un point de vue architectural,

    historique ou encore artistique, ils représentent tous une belle idée de balade hors des sentiers

    battus. Et aujourd’hui, on se dirige du côté de l’Oise pour en découvrir l’un des plus beaux joyaux,

    nous avons nommé Gerberoy !

    Gerberoy, le charme pittoresque d’un village médiéval

    Gerberoy, petit village pittoresque du nord de la France, cache en son sein un trésor architectural

    d’une rare élégance. Les rues pavées et les maisons à colombages datant du Moyen Âge y rivalisent

    de charme, tandis que les jardins fleuris et les rues piétonnes en font un lieu de promenade idyllique.

    Les rues étroites et sinueuses du village, bordées de maisons en pierre de taille et de colombages,

    dévoilent un panorama d’une grande richesse historique. Les toits en tuiles rouges et les volets

    verts ornent ces bâtiments d’une touche de couleur, renforçant encore leur cachet authentique.

     

    gerberoy

     

     

    Mais l’intérêt de Gerberoy se trouve aussi dans ses jardins, représentant également

    un réel enchantement pour les yeux. Les rues piétonnes du village, fermées aux voitures,

    permettent aussi de déambuler à loisir, de découvrir les nombreux cafés et restaurants 

    où déguster des plats locaux et des produits du terroir, ou encore de flâner sur le marché

    artisanal où l’on peut acheter poteries, bijoux, étoffes et objets en bois.

    gerberoy

    En somme, Gerberoy est un lieu où il fait bon se promener, respirer l’air pur et découvrir

    les trésors cachés d’un village médiéval d’une incroyable élégance. Il est un véritable

    joyau architectural, un témoignage vivant de l’histoire et un havre de paix pour les

    amoureux de la nature et de l’authenticité.

    Gerberoy – 60271 – Oise

    Que voir et que faire à Gerberoy en Picardie - Les pépites de France Merci de votre visite à demain ......


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    BONJOUR MON CORPS
    « C'est à toi que je veux dire aujourd'hui combien je te remercie de m'avoir accompagné si longtemps sur les chemins de ma vie.
    Je ne t'ai pas accordé l'intérêt, l'affection ou plus simplement le respect que tu mérites.
    Souvent, je t'ai même maltraité, matraqué de reproches violents, ignoré par des regards indifférents, rejeté avec des silences pleins de doutes. Tu es le compagnon dont j'ai le plus abusé, que j'ai le plus trahi.
    Et  aujourd'hui, au mi-temps de ma vie, un peu ému, je te redécouvre avec tes cicatrices secrètes, avec tes lassitudes, avec tes émerveillements et tes possibilités.
    Je me surprends aujourd'hui à t'aimer, mon corps, avec des envies de te câliner, de te choyer ou te donner du bon.
    J'ai envie de te faire des cadeaux uniques, de dessiner des fleurs et des rivières sur ta peau, de t'offrir du Mozart, de te donner les rires du soleil et de t'introduire aux rêves des étoiles.
    Tout cela à la fois dans l'abondance et le plaisir. Mon corps, je te suis fidèle. Oh, non pas malgré moi, mais dans l'acceptation profonde de ton amour.
    Oui, j'ai découvert que tu m'aimais, mon corps.
    Que tu prenais soin de moi, que tu respectais ma présence.
    Combien de violences as-tu affrontées pour me laisser naître, pour me laisser être, pour me laisser grandir avec toi !
    Combien d'accidents as-tu traversés pour me sauver la vie !
    Mon corps, maintenant que je t'ai rencontré, je ne te lâcherai plus. Nous irons jusqu'au bout de notre vie commune... et quoi qu'il arrive, nous vieillirons ensemble. »
    Jacques Salomé

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