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    Encore un lieu magnifique atteint par la sécheresse dans les P.O.,
    les Gorges des Gouleyrous à Tautavel.. le niveau du Verdouble est
    si bas que nous pouvons traverser à pied avec de l'eau à mi mollets..
    Un petit îlot s'est même formé et grandit..
     
     
    J aime ce coin rafraississant pendant la saison estivale
     
    Beaucoup de passage l été, l eau est fraiche
     
     
    et voilà le petit ilot , certains s amusent
     
     
    Merci de votre visite à demain
     

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     Il voulait que 100 ans après sa mort, sa maison soit ouverte aux visiteurs

    afin qu'ils découvrent la vie d'un bourgeois du XIXe siècle. Soyez les bienvenus

    chez Louis Mantin ! En savoir + pour visite Maison bourgeoise en Auvergne 

     

    Visite guidée obligatoire.

    Issu d'une famille fortunée, rentier à 42 ans, "bourgeois" et original, Louis Mantin

    lègue en 1905 son exceptionnelle maison et la collection qu'elle renferme "de façon

    à montrer aux visiteurs dans cent ans un spécimen d'habitation d'un bourgeois du

    19e siècle".

                     

    Construit entre 1893 et 1895, sur une partie des ruines du palais ducal des Bourbons,

    l'édifice pittoresque est conçu pour préserver et conserver la collection du maître

    des lieux, érudit, curieux et amateur d'art.

             

    Fermée pendant plusieurs dizaines d'années, abîmée par le temps, cette maison a subi

    un travail de restauration tout à fait titanesque et respectueux avant sa réouverture.

               

     

    Le château des ducs de Bourbon, autrement appelé "la Mal Coiffée", fût la prison militaire allemande lors

    de la période d'occupation qui coupa en deux la ville de Moulins pendant la Seconde Guerre mondiale.

     

                 

    Lieu de mémoire important, il porte la volonté de transmettre le devoir de mémoire auprès des nouvelles

     

    générations, de transmettre les témoignages d'anciens prisonniers, juifs ou résistants 

             

    Une véritable immersion pour apprendre et transmettre l'Histoire et les valeurs du devoir de Mémoire.

    De nombreuses conférences sont organisées tout au long de l'été par une association moulinoise afin

    de compléter les connaissances de chacun sur le sujet de la Seconde Guerre mondiale. A l'issue de ces

    conférences et des visites guidée, une collecte est organisée au profit des Bleuets de France. 

     

               

     Merci de votre visite à demain ..............


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    Peut être une image de monument et texte qui dit ’Ouvre l'oeil et regarde, tu verras ton visage dans tous les visages. Tends l'oreille et écoute tu entendras ta propre voix dans toutes les voix. Khalil Gibran’

    Jiddu Krishnamurti "La vérité est un pays sans chemin"

     

    Je suis toi, tu es moi ... ?

    - On peut être homme ou femme, plus ou moins clair ou foncé de peau, avoir des yeux

    de couleur différente, et ainsi de suite, mais intérieurement, tout au fond de nous,

    nous sommes exposés aux mêmes phénomènes que le reste de l’humanité... C’est une

    constatation logique, raisonnable, sensée. Et si l’on comprend, si l’on perçoit en profondeur

    ce fait, alors nous sommes totalement responsables de tout ce qui se passe dans le monde.

    'Krishnamurti à Ojai le 9 mai 1981'.

    - On peut porter un nom différent, vivre dans une autre région du monde, être éduqué

    d’une certaine manière, on peut être aisé ou très pauvre, mais si l’on va loin derrière les

    masques, on est comme le reste de l’humanité -malheureux, seul, souffrant, désespéré,

    névrotique, ayant foi en quelque illusion et ainsi de suite. À l’Est comme à l’Ouest, c’est

    ainsi. Il est possible que l’on n’aime pas ça, qu’on préfère penser que l’on est totalement

    indépendant, un individu libre, mais, si l’on examine très profondément, on est le reste de l’humanité.

     

    'La flamme de l’attention'.


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    « Qu'est-ce qui fut ce qui te fit grossir ?
    Ni une alimentation déficiente, ni un manque d’exercices n’ont provoqué tes kilos en trop.
    Ce qui te fit grossir fut la peur, le sentiment d’abandon, le manque d’amour, la dévalorisation, la vulnérabilité, tout cela, tu l’exprimas par des impulsions inconscientes, et elles se manifestèrent comme de mauvaises habitudes alimentaires.
     Tiens compte que la finalité des expériences douloureuse n’est pas de perdurer, sinon nous enseigner une leçon et ensuite disparaître…..
    Cependant, comme ton système d’épurement émotionnel est abîmé, (ton mental) il a essayé, inconsciemment, de te débarrasser de ces pensées et sentiments par le moyen de la digestion disant :
    « SI JE NE PEUX TRAITER MA TRISTESSE, PEUT-ÊTRE PUIS JE LA MANGER, SI JE NE PEUX TRAITER MA COLÈRE, JE SUIS PEUT-ÊTRE CAPABLE DE L’ENGLOUTIR. »
    Cet excès de poids disparaîtra lorsque ton enfant intérieur qui vit encore dans ton corps d’adulte, grandissant au travers de la graisse pour être reconnu et protégé par l’adulte, se rende enfin compte que la peur appartient au passé et qu’enfin, il est en sécurité.
    Cet enfant intérieur arrêtera de grandir sous forme de graisse….
    Je veux que tu saches que la graisse est une résultante physique de ton besoin de prendre de la distance avec les AUTRES, cette graisse a été un rempart pour te protéger, une barrière que tu as créée, toi-même.
    Je te propose d’abattre les briques de ce mur qui ont des noms :
    HONTE, RAGE, PEUR, RANCŒUR, INJUSTICE, PROTECTION, SÉPARATION, ÉPUISEMENT, STRESS, COMPLEXE D’INFÉRIORITÉ.
    La graisse que tu t’enlèves de dessus avait pénétré ton subconscient avant de s’accumuler dans ton corps et lorsque le poids disparaitra de ton esprit, il abandonnera ton corps. »
    Eva Ka Karuna relayée par Laurence Simmonet
     

    Sophie GALOO, thérapeute holistique


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    Les cinq critères d’un amour réussi

    « Pour une vie réussie, un amour réussi »

    « Swâmiji m’avait un jour énoncé cinq critères grâce auxquels on peut reconnaître la valeur profonde d’un couple.

    Ces cinq critères sont en fonction d’une durée, d’un chemin à suivre ensemble : to grow together, croître, grandir, s’épanouir ensemble, progresser sur la voie de la maturité, de la plénitude.



    1 – Le sentiment d’être des compagnons – Feeling of companionship

    Le premier de ces critères est le sentiment d’être deux compagnons. Avoir un compagnon, c’est ne plus se sentir seul(e). Il y a quelqu’un à mes côtés qui me comprend, avec qui j’aime échanger, avec qui j’aime partager, avec qui j’aime agir, faire les choses ensemble.

    Le mari ou la femme doit être aussi notre meilleur ami. L’épouse doit pouvoir jouer pour le mari tous les rôles qu’une femme peut jouer pour un homme ; et le mari doit pouvoir jouer pour sa femme tous les rôles qu’un homme peut jouer pour une femme. L’homme — ou la femme — se sent comblé et n’éprouve plus la nostalgie de trouver ailleurs ce qui ne lui manque plus.

    Si ce sentiment d’avoir trouvé un véritable compagnon existe, il s’enrichit avec les années, avec les expériences partagées, avec les souvenirs, contrairement à la passion amoureuse ordinaire condamnée à perdre son intensité comme un feu qui se consume et s’éteint.

    2 – Être à l’aise – At easeness

    Le deuxième critère est encore plus simple. Aisance : le fait que les choses soient faciles, aisées (4). On se sent bien. C’est une relation qui ne nous amène pas à gaspiller une grande quantité d’énergie en émotions. Or, trop souvent, dans la fascination amoureuse, il y a émerveillement, il y a des moments intenses, mais il n’y a ni aisance ni facilité ; ou encore une certaine facilité de relation s’établit mais dans la routine, dans la monotonie et il reste au cœur un manque.

    3 – Deux natures qui ne soient pas trop différentes – Two natures which are not too different

    Il est normal qu’il y ait une différence et une complémentarité entre un homme et une femme. Nous ne trouverons jamais notre alter ego : un autre nous-même qui, à chaque instant, soit uniquement l’incarnation de notre projection du moment. Nous ne trouverons jamais une femme qui sera toujours exactement ce que nous voulons, aura toujours exactement l’humeur ou l’état d’âme que nous souhaitons, l’expression ou le timbre de voix que nous espérons et prononcera les mots que nous attendons — jamais. Et cela, il faut le savoir. C’est une demande infantile, indigne d’un adulte, destructrice de toute tentative de couple, de vouloir que l’autre soit uniquement le support de mes projections et réponde à chaque instant à ce que mécaniquement je demande. C’est une illusion que vous devez réussir à extirper. L’autre est un autre. Et, même si une communion s’établit, l’autre n’aura jamais notre inconscient, notre hérédité. Il y aura toujours une différence.

    Mais si les natures sont trop différentes, aucune vie commune n’est possible et cet amour sera battu en brèche par la réalité. Les cas extrêmes vous paraîtront évidents. Si un homme est plutôt solitaire, aime les longues marches dans la campagne, la vie dans la nature, et qu’une femme ne rêve que de mondanités et de réceptions, il est certain que les natures sont trop différentes. Malheureusement, cela n’empêche pas de tomber amoureux.

    Deux natures qui ne sont pas différentes, cela n’existe pas. «Deux natures qui ne soient pas trop différentes», sinon l’entente est au-dessus de nos capacités respectives. Il faudrait être bien plus avancé sur le chemin de la liberté intérieure pour pouvoir former un couple paisible avec un partenaire dont la nature est radicalement différente de la nôtre. La fascination amoureuse ignore superbement l’incompatibilité de deux natures. On croit de bonne foi pouvoir s’aimer mais il n’y a pas de possibilité d’une véritable entente. La complémentarité de l’homme et de la femme repose sur la différence mais elle repose aussi sur la possibilité d’association, d’imbrication, de complicité.

    4 – Une foi et une confiance totales – Complete trust and confidence

    Bien sûr, beaucoup d’hommes et de femmes aujourd’hui sont blessés jusqu’au fond de l’inconscient par des trahisons passées vécues dans l’enfance ou la petite enfance. Ce genre de blessure ne facilite pas la communion, l’approche ouverte, le don mutuel de soi dans l’amour.

    Est-ce que cette personne a su m’inspirer une réelle confiance ? Du fond de moi monte ce sentiment : elle peut faire des erreurs, elle peut se tromper, elle peut même accomplir une action qui me créera une difficulté momentanée mais elle ne peut pas me faire du mal. Fondamentalement, ce qui domine, c’est cette certitude.

    Le mariage ne peut pas être une voie spirituelle vers la sagesse (5) si cette confiance et cette foi n’existent pas, si vous vivez dans la peur. Vous avez à être plus forts que votre infantilisme et à ne pas détruire vous-mêmes une relation précieuse par une méfiance qui n’est en rien justifiée. Il faut que les partenaires ne soient plus totalement infantiles, aient une certaine compréhension de leurs propres mécanismes et décident de les dépasser, d’être plus adultes.

    Seule cette confiance complète élimine le poison de l’amour, la jalousie. Je ne dis pas que c’est un vice ou un péché, c’est une émotion particulièrement infantile dans laquelle le mental invente ce dont il n’a aucune preuve. Rien n’est plus destructeur de l’amour que cette jalousie.

    5 – Une forte impulsion à rendre l’autre heureux – Strong impulse to make the other happy

    Ce critère exige une approche adulte du couple. La demande d’être heureux grâce à un autre est naturelle, normale, légitime chez un homme ou une femme qui n’a pas encore atteint le bout du chemin et qui se sent encore incomplet. Mais il y a une manière tout à fait égoïste de vouloir rendre l’autre heureux, dans laquelle l’autre n’est pas vraiment en question. C’est l’autre tel que je le vois à travers mes projections, mes demandes à moi, que je cherche à rendre heureux en lui offrant ce que j’ai envie de lui offrir, en faisant pour lui ce que j’ai envie de faire, et sans tenir compte de ses véritables demandes. On ne peut sentir ce dont l’autre a vraiment besoin que si l’intelligence du cœur est éveillée.

    Ce bonheur est aussi une réalité simple, quotidienne, faite d’une accumulation de petits détails, et pas seulement de s’entendre dire «je t’aime ». Un être a besoin de respirer à chaque minute, et il a besoin de respirer l’amour tous les jours. Cette envie de rendre l’autre heureux ne se fabrique pas artificiellement, elle est là ou elle n’est pas là.

    « Une forte impulsion à rendre l’autre heureux » est un sentiment permanent : « J’existe pour lui, que puis-je faire pour lui ? » Cette intelligence du cœur s’éveillerait très naturellement si les émotions ne venaient pas corrompre la possibilité d’un véritable sentiment.

    Ces critères sont simples. Mais, s’ils sont réunis, tous les autres en découlent, y compris l’entente sexuelle .

    Arnaud Desjardins


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