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Tic-tac du soir...
J'aime le tic-tac régulier du réveil
Lorsque s'installe dans la quiétude du soir
Un tempo qui scande la saveur exquise du présent,
Chaque seconde, chaque minute,
Vient frapper à ma porte,
Me dire avant le repos du jour
Qu'il est temps de prendre le pouls ,
De sentir dans les battements du coeur
L'écho lointain du Créateur de l'univers,
La conscience vive des jours et des heures
Ralentit la marche du promeneur solitaire
Attiré par le silence de la nuit,
Le tic-tac du réveil attise une flamme,
Dépose dans le creux de l'oreille
La vigueur d'une parole pacifiée,
Le tic-tac est un rappel à l'ordre,
Invitation à entrer à l'intérieur de soi,
Désir de se laisser glisser délicatement
Dans un sommeil tout en couleurs,
Douceur d'un soir habité
Par le besoin intime de dire "merci la vie".
Marc Maronne
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Mariano Eusebio González y García, dit Luis Mariano, né le 13 août 1914 à Irun
(province de Guipuscoa, Espagne) et mort le 14 juillet 1970 à Paris, est un ténor et chanteur d’opérette basque espagnol, qui a connu une très grande
popularité en Amérique latine, en France, en Espagne et au Québec. Outre
l'espagnol et le français, il parlait couramment le basque, sa langue maternelle,
et a toujours été fier de ses origines basques.
Il accède à la célébrité en 1945 grâce à La Belle de Cadix, opérette de Francis Lopez
ou encore Le Chanteur de Mexico. Il devient alors, à la scène comme au grand écran,
le « prince de l’opérette ».
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Continuons notre visite 3ème volet et fin du trio
Détail de la Chapelle St Sennen et Abdon
St Sennen et Abdon
Détail de la Chapelle St Sennen et Abdon
Vitraux représentant St Sennen et Abdon
La Sainte Tombe
La source de cette eau est d’origine inconnue et intarissable (excepté lors des deux guerres
mondiales où le tombeau ne se remplit pas). La Sainte Tombe est dégagée des murs de la cour de
l’Abbaye et élevée du sol par deux blocs de marbre, elle se remplit d’eau au fil des jours et est puisée
par le curée du village à l’aide d’une pompe à piston afin de perpétuer la tradition et de l’offrir aux malades.
Arnulphe soulagea la mule et vida l’eau de la barrique dans un ancien sarcophage à l’entrée
de l’abbaye. Un lépreux vint boire l’eau et fut guéri instantanément. Les moines, voyant cela,
refermèrent le sarcophage au moyen de son lourd couvercle de marbre et commencèrent à
puiser l’eau par un petit orifice pour l’offrir aux malades.
L’eau de ce sarcophage est pure et on lui alloue des propriétés curatives et miraculeuses.
Le miracle le plus connu est sans doute celui de la guérison du seigneur de Taillet guéri vers
1200 d’un cancer du visage. L’origine de cette eau reste inconnue et elle est intarissable
(excepté lors des deux guerres mondiales où le tombeau est resté vide).
Un autre témoignage de guérison a été donné plus récemment, dans le cadre d’une émissionpar un habitant du village, grièvement brûlé lors d’un feu de la Saint-Jean et soigné au moyen
de l’eau du sarcophage.
Nous terminons sur un cliché de ce beau cloitre qui a une longue histoire
Merci de votre visite à demain ......
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Continuons notre visite .....
L autel et ses ornements
La croix des pénitents
La Vierge dans ses habits de fête
Le christ ressuscité.
Les Simiots.
Un simiot est, dans la mythologie pyrénéenne et catalane, une créature diabolique ressemblant
à un singe, essentiellement aux alentours d'Arles-sur-Tech, en Vallespir, ainsi qu'en Haut Ampurdan.
Conformément à la tradition, les descriptions en sont peu détaillées et laissent une grande part à l'imaginaire.
Détail de la chapelle les 3 statues
Sainte-Lucie.
Notre-Dame du Rosaire.
Sainte-Anne.
La Rodella.
Bien qu'il soit certain que la Rodella ait une origine païenne, la légende fait remonter le début de cette tradition
en 1465. A cette époque, les français avaient conquis le Roussillon, ils étaient considérés comme des occupants.
Pour faire face à l'adversité, la religion est devenu un refuge moral face aux difficultés de la vie.
C'est dans ce contexte que l'on raconte que Noguer de Gasnach, un berger de Montbolo, fut prit par le mauvais
temps au col de Formentere. Alors qu'il voyait l'orage pointer, il entendit deux voix étranges. Inquiet, il tendit
l'oreille et constata qu'il s'agissait de deux sorcières tentant d'amener l'orage sur Montbolo. Elles se disputaient
pour savoir qui passerait le col la première car une chose les en empêchaient : les deux Saints Abdon et Sennen
qui faisaient barrage. Face à ce danger elles firent demi-tour et l'orage s'éloigna. Depuis à Montbolo on vénère
les Saints d'Arles-sur-Tech et pour leur rendre hommage on fait chaque année la procession de la Rodella.
La chapelle des saints Abdon et Sennen.
Détails de la Chapelle
Détail du retable.
Merci de votre visite à demain ...........
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Ce jour visite d Arles sur Tech et son Abbaye en 3 partie .....
Commençons par : Le Palau fut vendu en bien National lors de la Révolution Française.
Il fut acheté par la famille Cantaloup au début du XXe siècle pour en faire la résidence que nous connaissons.
Le Palau s’impose par sa majestueuse architecture, sa façade en pierre et ses fenêtres avec vitraux copiant
l’art roman. Une tour domine le bâtiment et accentue le caractère singulier du Palau. En entrant, un escalier
en pin massif domine une entrée majestueuse. De grandes cheminées composent les salles les plus importantes
avec de grandes hauteurs sous plafond.
Adossé au flanc sud de l'église,c'est un exemple unique de l'art gothique languedocien en Catalogne.
Rien ne subsiste du cloître roman d'origine
C'est le premier cloître gothique bâti en Catalogne Nord.Les matériaux marient le marbre blanc de
Céret et la pierre de Gérone pour les colonnes.
Les arcades retombent sur des colonnes géminées. Les chapiteaux sont sobrement ornés
de motifs végétaux. La salle capitulaire s'ouvre sur le cloître par trois baies gothiques.
D'après la brochure de l'édifice, l'abbaye Sainte-Marie d'Arles-sur-Tech se compose d'un cloître,
d'une salle capitulaire, d'une église de plan basilical et de plusieurs chapelles sur le côté Sud.
La façade présente un linteau de granit, appartenant certainement à l'église du XIe siècle.L'abbaye fut également dotée au XIe siècle de quatre tours de défense. Deux sont encoreprésentes à l'est, à l'ouest il ne subsiste qu'un seul des deux clochers de l'église.La chapelle Saint-Joseph.
Détail de la Chapelle St Joseph
La chapelle Saint-Antoine.
La chapelle Saint-Benoit.
Détail de la chapelle Saint-Benoit.
La roue à clochettes. Qui sonne à Pâques
La vierge et le Christ .....
Merci de votre visite à demain ..........
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