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    La mort d’un parent affecte la vie des adultes psychologiquement et physiquement

    Par Sylvain B.

    Des scientifiques ont découvert que la mort d’un de vos parents modifiera à jamais la chimie de votre cerveau.

    Perdre un parent est une expérience émotionnelle universelle, mais l’universalité n’empêche pas le traumatisme de l’événement, qui a tendance à affecter notre vie. Même dans les meilleures circonstances, des études révèlent que perdre un parent change un adulte à la fois psychologiquement et biologiquement. Dans des circonstances plus difficiles, ces changements peuvent devenir pathologiques.

     

    «Dans le meilleur des cas, la mort d’un parent est attendue et la famille a le temps de se préparer à la perte, de faire ses adieux et de s’entourer de soutien», déclare la Dre Nikole Benders-Hadi, psychiatre. «Dans les cas où la perte est inattendue, comme une maladie foudroyante ou un accident traumatique, les enfants adultes peuvent rester dans les phases de déni et de colère pendant de longues périodes… conduisant à un diagnostic de trouble dépressif majeur ou même de TSPT, s’il y a un traumatisme. »

    Aucune étude d’imagerie cérébrale ou d’analyses de tendances psychologiques ne peut vraiment capturer l’expérience unique du deuil. Mais il existe quelques constantes dans la littérature scientifique car tous les cerveaux humains pleinement développés sont câblés pour répondre à la douleur émotionnelle avec les mêmes voies de base.

    Le cortex cingulaire postérieur, le cortex frontal et les régions cérébrales du cervelet jouent un rôle dans le traitement du deuil. Ces zones participent à la récupération des souvenirs et s’attachent au passé, mais elles participent aussi à la régulation du sommeil et de l’appétit. « Cela pourrait donner une explication aux réactions différentes et uniques au deuil et à la perte », a indiqué Jumoke Omojola, un travailleur social clinique à Omaha, au Nebraska. «Les changements physiologiques peuvent comprendre des maux de tête, des maux d’estomac, des étourdissements, une sensation d’oppression dans la poitrine, trop de sommeil, trop manger ou manque d’appétit».

    Voir aussi : Deuil: la mort d’un parent c’est le dernier refuge de l’enfant qui disparaît

    À court terme, la perte provoquera une détresse physique. À long terme, le deuil met tout le corps en danger. Quelques études ont découvert des liens entre le deuil et l’hypertension, les événements cardiaques, les troubles immunitaires et même le cancer. Il est difficile de savoir pourquoi le deuil déclencherait de telles conditions physiques, mais une théorie est qu’un système nerveux sympathique perpétuellement activé peut entraîner des changements génétiques à long terme. Ces changements – moins de mort cellulaire préprogrammée, des réponses immunitaires atténuées – peuvent être idéaux lorsqu’un ours vous poursuit à travers la forêt et que vous avez besoin de toutes les cellules saines que vous pouvez obtenir.

    Dans les douze mois qui suivent la perte d’un parent, il est sain pour les adultes ayant perdu leurs parents de ressentir une série d’émotions contradictoires: tristesse, colère, colère, anxiété, engourdissement, vide, culpabilité, remords et regrets. Il est normal de s’éloigner de ses amis et de ses activités.

    D’autre part, le genre, à la fois du parent et de l’enfant, peut particulièrement influencer la réaction au deuil.

    Des études révèlent que les filles ont des réactions de deuil plus intenses que les fils, mais que les hommes qui perdent leurs parents peuvent mettre plus de temps à avancer dans la vie.

     

    Découvrez : La perte d’un parent peut avoir des conséquences négatives sur le plan mental, émotionnel et physique

    Le deuil deviendrait pathologique lorsque les personnes en deuil sont tellement dépassées qu’elles ne peuvent plus continuer à vivre. Des études préliminaires suggèrent que cela se produit chez environ 1% de la population en bonne santé et environ 10% de la population ayant déjà été diagnostiquée avec un trouble de stress. Même les adultes capables de travailler et de se montrer courageux peuvent souffrir d’un état clinique s’ils nient la mort de leur parent. Cette condition, connue sous le nom de Trouble de deuil complexe persistant, est un diagnostic plus difficile à établir.

    Le deuil non résolu peut devenir de l’anxiété et de la dépression. C’est particulièrement vrai lorsque le parent meurt en se suicidant, selon Lyn Morris, thérapeute et vice-présidente des services de santé mentale de Didi Hirsch. «Les adultes qui perdent un parent par suicide ont souvent des émotions complexes comme la culpabilité, la colère et des sentiments d’abandon et de vulnérabilité», a-t-elle déclaré à Fatherly. En effet, une étude menée en 2010 par l’Université Johns Hopkins a confirmé que la perte d’un parent par suicide augmente le risque que les enfants se suicide  Ross Grossman, un thérapeute agréé spécialisé dans le deuil des adultes, a identifié plusieurs « pensées principales déformées » qui entrent dans notre esprit face à l’adversité. Deux des plus importants sont «je devrais être parfait» et «il/elle aurait dû me traiter mieux».  « Ces pensées déformées peuvent facilement se produire à la suite de la mort d’un être cher », a déclaré Grossman.

    Lorsqu’un fils ou une fille réfléchit à la façon dont il aurait dû traiter un parent décédé, les pensées «Je devrais être parfait» ont tendance à remonter à la surface. Les patients de Grossman ont souvent le sentiment qu’ils auraient dû faire plus pour eux et «parce qu’ils n’ont fait aucune de ces choses, ils sont des êtres humains mauvais, terribles, horribles», dit-il. «Ces pensées, si elles ne sont pas contestées, se traduisent en principe par un sentiment de faible estime de soi, de honte, de jugement de soi, de condamnation de soi. »

    À l’opposé, les patients reprochent parfois à leurs parents décédés de ne pas avoir été traités correctement et qu’ils ne pourront jamais réparer leurs erreurs. C’est aussi malsain. « Le résultat habituel est un ressentiment profond, la colère, la rage », dit Grossman. «Ils peuvent avoir de véritables raisons légitimes de se sentir maltraités. Dans ces situations, ce n’est pas toujours la mort du parent, mais la mort de la possibilité de réconciliation, de rapprochement et d’excuses du parent fautif. »

    En général, le temps et un partenaire compréhensif peuvent profondément aider les adultes à surmonter ce chapitre désagréable mais omniprésent de leur vie. «Le mari peut mieux soutenir sa femme en écoutant», explique Manly. «L’homme se sent souvent impuissant face aux émotions de sa femme et il veut remédier à la situation. Un mari peut faire beaucoup plus de bien en s’asseyant avec sa femme, en l’écoutant et en lui tenant la main. »

    Une poignée d’études suggèrent des liens entre le deuil non résolu et l’hypertension, les événements cardiaques, les troubles immunitaires et même le cancer. 

    Sources : https://ajp.psychiatryonline.org/ et https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2645112/ et https://www.fatherly.com/health-science/parent-death-psychological-physical-effects/

    https://www.sain-et-naturel.com/mort-parent-affecte-vie-adultes.html?fbclid=IwAR3EtM8RIzeIneCe81sGy5j_oWs6uGyCHojTuNl9u6-l6TBnrRZe5dom2qo

     


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  • "Il a tout ce qui m'oppose et m'attire.
    La fidélité, l'esprit du combattant
    L'écoute du regard et la droiture de l'âme.
    Une lumière irrésistible que je brûle d'attraper
    Un feu qui me réchauffe, me rassure et m'enrobe.
    Mais qui ne peut s'allumer pour moi.
    Intouchable comme une étoile,
    Je ne peux que l'admirer.
    Quand nos sentiers se sont croisés
    Il était déjà trop tard.
    Il est si bien accompagné..."
    A.Geff


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  • « Vieillir, c’est chiant. » Un superbe texte de Bernard Pivot

    Avec les années qui s’écoulent et le temps qui file chaque année et chaque jour de plus en plus vite, Bernard Pivot a écrit un texte qui ne vous laissera pas de marbre.

    Par Louise Meunier. Le 06/05/2019

    Le conséquences du temps, combattu et sujet abordé depuis l’antiquité avec par exemple : l’un des fragments poétiques qui provient de l’époque archaïque Sappho, déplore en 600 avant J.-C. la fugacité de la jeunesse.

    « L’âge a ridé ma peau, et sous mes lèvres blêmes, peu de dents tiennent bon ; quant à ma chevelure, ses épis noirs jadis sont aujourd’hui tout blancs. Je ne me soutiens plus sur mes jarrets tremblants, moi qui jadis dansais parmi vous, ô mes sœurs, vive comme le faon, le plus vif des danseurs (…). Mais je veux jusqu’au bout savourer la clarté/ Et vous aimer. »

    Personne n’a encore jamais trouvé un élixir de jouvence ou une quelconque potion magique d’immortalité.

    Et s’il y a bien quelque chose face à laquelle nous sommes tous égaux c’est bien la vieillesse et le temps qui passe.

     

    Le temps est éphémère. Et les auteurs, les poètes ont toujours aimé écrire sur ce sujet intemporel de l’existence de l’homme sur Terre. Et c’est le thème que Bernard Pivot a voulu traiter, non sans une pointe d’ironie intitulé « vieillir, c’est chiant » ! Un texte superbe et qui, j’espère vous inspirera .

    Ce texte que vous allez lire est un court extrait de son livre Les Mots de ma vie écrit en 2011.

    C’est l’histoire d’un homme qui n’aurait pas voulu vieillir, mais qui fait contre mauvaise fortune bon coeur en acceptant ce destin avec force et honneur plutôt qu’avec mélancolie et abandon.

    Voici le texte un extrait du livre Les Mots de ma vie:

    « J’aurais pu dire :
    Vieillir, c’est désolant, c’est insupportable,
    C’est douloureux, c’est horrible,
    C’est déprimant, c’est mortel.
    Mais j’ai préféré « chiant »
    Parce que c’est un adjectif vigoureux
    Qui ne fait pas triste.
    Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira.

    Non, ce n’est pas vrai qu’on vieillit dès notre naissance.
    On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant.
    On était bien dans sa peau.

    On se sentait conquérant. Invulnérable.
    La vie devant soi. Même à cinquante ans, c’était encore très bien…. Même à soixante.

    Si, si, je vous assure, j’étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme.
    Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps j’ai vu le regard des jeunes…..
    Des hommes et des femmes dans la force de l’âge qui ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge.

    J’ai lu dans leurs yeux qu’ils n’auraient plus jamais d’indulgence à mon égard.
    Qu’ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables.

    Sans m’en rendre compte, j’étais entré dans l’apartheid de l’âge.

    Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants.
    « Avec respect », « En hommage respectueux », « Avec mes sentiments très respectueux ».

    Les salauds ! Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect ? Les cons !

    Et du ‘cher Monsieur Pivot’ long et solennel comme une citation à l’ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus !


    Un jour, dans le métro, c’était la première fois, une jeune fille s’est levée pour me donner sa place…
    J’ai failli la gifler. Puis la priant de se rasseoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué. !!!… ?

    – « Non, non, pas du tout, a-t-elle répondu, embarrassée. J’ai pensé que ».
    – Moi aussitôt : « Vous pensiez que ? »
    – « Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous asseoir. »
    – « Parce que j’ai les cheveux blancs ? »
    – « Non, c’est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que moi, ça a été un réflexe, je me suis levée. »
    – « Je parais beaucoup… beaucoup plus âgé que vous ? »
    – « Non, oui, enfin un peu, mais ce n’est pas une question d’âge. »
    – « Une question de quoi, alors ? »
    – « Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois. »

    J’ai arrêté de la taquiner, je l’ai remerciée de son geste généreux et l’ai accompagnée à la station où elle descendait pour lui offrir un verre.

    Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, ne renoncer à rien.
    Ni au travail, ni aux voyages, ni aux spectacles, ni aux livres, ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni au rêve.
    Rêver, c’est se souvenir, tant qu’à faire, des heures exquises.
    C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.
    C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.

    La musique est un puissant excitant du rêve. La musique est une drogue douce.
    J’aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant soit l’Adagio du Concerto n° 23 en La majeur de Mozart, soit, du même, l’Andante de son Concerto n° 21 en Ut majeur,
    musiques au bout desquelles se révéleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l’au-delà.
    Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés.
    Nous allons prendre notre temps.
    Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement.
    Nous ignorons à combien se monte encore notre capital. En années ? En mois ? En jours ?
    Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital.
    Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération.
    Après nous, le déluge ?… Non, Mozart. »

     

    livre Les Mots de ma vie :Bernard pivot

    Pour nuancer, ne nous plaignons pas : vieillir, est un privilège qui n’est pas donné à tout le monde [ Proverbe indien – Source : proverbe indien ] Le temps c’est aussi voir de belles choses grandir et grandir avec. Et aussi une chance de pouvoir faire mieux que nos pairs.


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    L'amour ne Juge pas et ne dénigre pas.
    L'amour ne condamne pas.
    L'amour n'impose pas ses idées aux autres. L'amour accepte la différence.
    L'amour prend place dans la diversité.
    L'amour accepte l'autre entièrement.
    L'amour apprend.
    L'amour est humble.
    L'amour ne modifie pas, l'amour reconnaît la beauté de chaque être humain.
    L'amour est serein et calme.
    L'amour est la foi.
    L'amour c'est la lumière.

    L'amour n'est pas à l'extérieur mais à l'intérieur de toi.


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  • Idée pâte à modeler maison

    https://www.mieux-vivre-autrement.com/pate-a-modeler-faite-maison-100-naturelle-enfants.html?fbclid=IwAR2ZBQUDkCDthC6FqqlBXOGM6mrDTDEtVBL6NQUvrvR9qlWVGjGyNpUMmtM

    Une pâte à modeler 100% naturelle faite maison pour vos enfants

    La pâte à modeler est indémodable ! Elle amuse les enfants depuis des générations, mais la pâte à modeler commercialisée n’est pas toujours très saine. Le mieux serait d’avoir une recette simple de pâte à modeler 100% naturelle, à fabriquer chez soi avec ses enfants… ça tombe bien, j’en ai une très simple, écologique et économique à vous proposer !

    pate a modeler

    La pâte à modeler : plus qu’un jeu d’enfant

    Manipuler de la pâte à modeler est plus qu’un jeu pour votre enfant. Elle est à la base de multiples activités éducatives, particulièrement prisées par la pédagogie Maria Montessori.

    Et pour cause, la pâte à modeler fait appel aux sens du toucher, de la vue et de l’odorat. Sa manipulation favorise le développement de la motricité fine. Elle nécessite la coordination des yeux et des mains pour reproduire des formes en trois dimensions. Elle stimule la créativité qui s’exprime tant par les couleurs que dans les formes, laissant libre court à l’imagination.

    Composition secrète des pâtes à modeler du commerce

    La composition exacte de la pâte à modeler des grandes marques vendue dans le commerce reste confidentielle. Seules peuvent figurer, sur quelques emballages, des mentions du type : « contient du blé » ou encore « n’est pas destiné à être mangé ». Les fabricants nous informent aussi qu’en raison de la haute teneur en sel, le produit peut être dangereux en cas d’ingestion.

    Les ingrédients révélés sont une composition en eau, sel et farine de blé. Ce qui n’est pas forcément rassurant, car nous ne savons pas vraiment ce que tiennent nos bambins dans les mains. Ce qui est sûr c’est que les enfants allergiques au gluten peuvent faire réagir à la pâte à modeler.

    Alors pourquoi ne pas réaliser une pâte à modeler 100 % saine et naturelle pour vos enfants, avec tous les avantages qui vont avec ?

    pate a modeler

    Les avantages de la pâte à modeler faite maison

    Fabriquer sa pâte à modeler soi-même apporte de nombreux avantages pour vous, comme pour votre enfant :

    1. Elle est 100 % naturelle
    2. On connaît sa composition exacte
    3. Une version sans gluten est tout à fait possible
    4. Elle est comestible
    5. Elle est ludique et simple à réalise
    6. Elle est économique
    7. On utilise des ingrédients simples déjà présent de notre cuisine
    8. Elle est compostable
    9. Elle est Zéro Déchet
    10. En bonus : elle donne un petit sentiment de satisfaction qui fait du bien 

    Alors, on n’hésite plus et on se lance. C’est prêt en quelques étapes, pour le plus grand bonheur des enfants ! Suivez le guide

    Recette de la pâte à modeler 100% naturelle

    Voici une recette de pâte à modeler avec des ingrédients issus de votre cuisine. Et comme, elle est vraiment très simple à réaliser, vous pouvez la fabriquer avec vos enfants. Comptez une trentaine de minutes pour la préparation.

    Les ingrédients et ustensiles nécessaires :

    • 1 tasse de farine de blé (ou farine sans gluten)
    • ½ tasse de sel
    • 1 tasse d’eau chaude
    • 2 c.à c. de bicarbonate de soude
    • 1 c.à c.d’huile végétal (colza, tournesol, olive, etc.)
    • des colorants alimentaires naturels
    • 1 casserole
    • 1 cuillère en bois
    • un ou plusieurs contenants vides (opaques et hermétiques)

    Des colorants et arômes naturels :

    Pour une pâte à modeler de couleur, pas de mystère : il faut utiliser des colorants ! Pour éviter les colorants chimiques, voici une liste de colorants et d’arômes naturels que vous pouvez associer à votre pâte à modeler :

    • Jaune : curcuma, curry, oignon
    • Marron : cacao en poudre, chicorée, marc de café
    • Rouge : paprika rouge
    • Vert : thé matcha, spiruline, menthe
    • Orange : jus de carotte, safran, oignon
    • Rose : jus de betterave, fruits rouge
    • Bleu : Pois papillon, commercialisés en pétales séchés pour tisane « pea flower tea »
    • Violet : jus de chou rouge

    Fabrication de la pâte à modeler :

      1. Dans une casserole, versez la farine, le sel et le bicarbonate.
      2. Ajoutez l’eau et l’huile, tout en remuant.
      3. Faites chauffer à feu doux, jusqu’à épaississement.
      4. Dès que la pâte commence à se décoller, retirez la casserole du feu (sinon elle sèche).
    1. Attendez que la pâte refroidisse, puis pétrissez la.

    Ajout des colorants :

    1. Pour chaque couleur, mélanger préalablement 1 c.à s. de colorants avec à 1 c.à s. d’huile végétale.
    2. Faites des morceaux de pâte à modeler de la taille de votre choix.
    3. Mélangez chaque portion de pâte à modeler avec les colorants préparés.
    4. Pétrissez bien la pâte colorée, plus elle sera mélangée, plus la couleur sera uniforme.

    Votre pâte à modeler est prête. Il ne reste plus qu’à la mettre dans des petits pots, datés et étiquetés selon la couleur.

    Astuces & conseils :

    • Vous pouvez conserver votre pâte à modeler plusieurs mois au frigo.
    • Si la pâte à modeler a séché, il suffit de se mouiller les mains et de la pétrir un peu pour lui redonner son élasticité.
    • Si la pâte est devenue légèrement collante, rajoutez un peu de farine et pétrissez rapidement pour récupérer la texture d’origine.

    Amusez-vous bien !


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